Guillaume THERON 

Guillaume Theron travaille avec Ramona Coman comme assistant de recherche dans le cadre du projet Jean Monnet « Rule of law and mutual trust in global and European governance » et avec Nathalie Brack sur un projet portant sur le rôle des Parlements nationaux

Durée du stage : 3 mois

Je suis né et j’ai grandi en Bretagne, en France, avant de partir étudier à l’Institut d’études politiques à Lille. J’ai par la suite obtenu mon diplôme de Licence en Sciences politiques à l’Université de Lille. Désirant poursuivre mes études dans un environnement international, c’est tout naturellement que débutai en 2019 un Master d’études européennes à l’Institut d’études européennes de l’ULB. Ces quinze derniers mois ont renforcé mon intérêt pour l’étude des politiques européennes – dont la naissance remonte à mon engagement associatif dans le secondaire pour le Parlement européen des jeunes – et ont confirmé ma volonté d’orienter mon futur vers la recherche. J’écris actuellement un mémoire sur les rapports de force entre les acteurs des politiques sociales européennes, et j’envisage de poursuivre cette réflexion par le biais d’un doctorat dans les années à venir. J’ai personnellement une affinité particulière pour la méthode qualitative et la sociologie critique, mais je suis persuadé que les sciences sociales ne peuvent réaliser leur potentiel sans une constante discussion interdisciplinaire, et c’est pourquoi j’apprécie tant découvrir de nouveaux instruments de recherches ou de nouvelles théories.

Francisco DE ARAUJO VASQUEZ 

Francisco de Araujo Vásquez a rejoint le projet “Conflicts of Sovereignity in the EU” (financé par la FWA), Nathalie Brack, Ramona Coman & Amandine Crespy en tant qu’assistant de recherche.

Durée du stage: 5 mois

Je suis titulaire d’un Bachelier et d’un Master en sciences politiques de l’Université libre de Bruxelles et je poursuis actuellement un Master en études européennes avec le label de l’IEE. 

Mon travail de fin d’études de Master et la recherche que je mène pour le moment se concentre sur la contestation et l’opposition qui existe à l’encontre de la nouvelle gouvernance économique européenne au niveau national et parmi les États membres (spécifiquement au Portugal et en Italie), en particulier lorsque cette contestation prend place à travers des institutions nationales tels que les Parlements, avec comme but d’étudier ces phénomènes et les implications qu’ils ont pour des questions relatives à la démocratie ainsi que la souveraineté populaire, économique et monétaire.